Rencontre ô combien particulière

Morack arriva au Joy Luck Club assez tard dans la nuit, il n'avait pas vraiment l'habitude de frequenter ce lieu, un semblant de boîte de nuit qui puait l'alcool et la transpiration mais où l'ambiance était tout de même agréable. Il entra sans problème, le videur étant un membre de la Tribale qui le respectait, et s'installa sur une banquette moisit près du bar.

"Un vokaramel la miss!"

En réalité Morack ne venait pas prendre (que ) du bon temps, il avait rendez-vous avec un certains Ravachol. Selon ses renseignement il était danseur ici même mais ce qui était plus attractif c'était sa capacité à manier des explosifs...comme lui! Il avait quelques projets à lui proposer pour le compte de leur clan.

*Je suis presser de voir a quoi ressemble ce danseur*

Sur ce il alluma une clope et remercia la serveuse pour sa vodka.

Un peu écoeurée par l'atmosphère des lieux, Jill voulait cependant faire connaissance avec ce nouvel arrivant dans la Tribale : ce strip-teaseur dont toutes les gourgandines des Arcanes faisaient des gorges chaudes.

*et pas qu'au figuré...*

C'est pourquoi elle avait décidé de tenter l'aventure de s'immiscer dans le bar hot de la ville, vêtue pour une fois d'autre chose que ces kimonos dont elle avait fait son ordinaire après son retour d'Asie : un slim de jean clair, avec un petit haut noir qui révélait une silhouette parfaite.

Elle alla se poser au bar, étonnée de ne voir aucun ami un tant soit peu proche de la Tribale : seuls les portiers lui étaient familiers...
En désespoir de cause, elle s'accouda au bar et commanda une caïpirinha-pamplemousse, qu'elle commença à siroter.

*MMhh, j'ai bien envie de me servir de ce ptit nouveau : et si il s'associait avec Morack, ça pourrait être bien sympa !! Par contre, sa répute de tapin ultra hot me le rendait presque infréquentable. M'enfin....*

"Jim ! T'saurais pas où est passé mon costume ?
- Nan mon gars, tu l'as paumé ?
- Je l'avais posé juste là pourtant...
- L'une de tes groupies a dû se barrer avec...
- 'Chié j'peux pas faire mon numéro ce soir...
- T'en fais pas j'en toucherai deux mots au patron !
- Merci, t'es un ange mon chtit Jim !
- Hey, c'est pas gratuit hein !
- Je m'en doute, bah on se voit demain soir alors ?
- Okay, m'oublie pas hein !
- Compte sur moi !"

Les coulisses s'affairaient comme une véritable fourmilière d'hommes et de femmes en costumes de show ou dans le plus simple appareil, chacun se côtoyait sans histoires et tout le monde s'occupait à quelque chose. Ne rêvez pas, il ne s'agit pas du Paradis terrestre mais des coulisses des strip-teasers du Joy Lucky Club, quoiqu'il peut s'agir d'un paradis terrestre pour certains...

Ravachol n'ayant pas le costume prévu pour la soirée, se vit contraint d'annuler sa "représentation". D'un autre côté, c'était pas plus mal, il pourrait se saoûler un peu avant d'entamer la seconde partie de soirée... Après avoir demandé à quelques "collègues" de combler la gêne occasionnée, il enfila un jean et une veste large, puis sorti par la porte ne donnant pas sur la scène, histoire de ne pas trop se faire remarquer et d'éviter que le public des habitués ne se pose des questions. Une fois dehors : direction le bar. Il s'y accouda, et, après avoir commandé l'un des alcools les plus forts, se tourna vers la scène. Voir les autres travailler à sa place était parfois agréable, bien que le fait d'être sous le feu des projecteurs lui plaise tout autant. Mais changer de point de vue reste un moyen de sortir de sa routine continuelle...

"Rava ! J'ai plus d'ton alcool bizarre, tu veux pas du saké pour changer un peu ?
- Tssssk parle moins fort, tu vas m'faire repérer...
- Héhéhé, on tente d'échapper à son fan club ?
- Tu parles, à peine la soirée finie je vais devoir m'occuper de ceux qui ont le plus à me donner... Toujours les mêmes, ça devient lassant...
- Pourquoi tu ne prends pas ceux qui donnent moins ? Ca te changerait...
- Parce-que justement, ils donnent moins...
- Toujours basé sur l'argent... Halala, tu ne changera jamais mon petit Ravachol...
- Mais tu sais, même si tu me donnes rien je peux toujours réfléchir à ton cas...
- Dans tes rêves mon grand, je ne suis pas de celles qui se font avoir facilement ! Tiens, bois ton saké et cesse de dire des idioties !
- Dommage, t'aurais eu une promotion..."

Se retournant vers la scène, Ravachol avala son verre de saké cul sec, avant de basculer brusquement sa tête en arrière. Ce soir, c'était bourrage de gueule en prévision...

Perdue dans ses pensées, Jill réfléchissait, comme bien souvent, à sa situation depuis son retout à la mégapole. Elle avait l'impression d'être "en décalé" par rapport aux autres, de ne plus être au courant des dernières nouvelles, et d'avoir une influence moindre dans les petits complots des clans.
Elle ne prêtait donc aucune attention aux allées et venues des autres clients du Joy, pas plus qu'à leurs conversations.

Levant la tête pour commander une deuxième Caïpirinha, Jill vit que le barman était occuppé à servir un jeune type, plutôt beau mec et passablement émèché, qui suintait la tablette de chocolat surentretenue et la certitude de pouvoir sauter sur tout ce qui bouge à plein nez.
Etrange, car elle semblait avoir entendu le baraman l'appeler d'un nom qui lui était curieusement déà parvenu aux oreilles.

-Rava, tu ferais mieux de t'arrêter de boire, mec.
-Ehhh ! Et depuis quand mes consos nuisent à ton commerce, hein ???
-T'as raison, c'est au tien qu'elles risquent de se révéler nuisibles.
-Ben alors t'en occupe pas.

*Rava ... Rava ... Rava ? chol ? Nan !! Le nouveau, le strip-teaseur ? ça correspondrait bien en plus. Qu'est-ce qu'il fout là, au lieu de bosser, lui ?*

Poussée par la curiosité, Jill s'approcha du type, avant de héler le barman.

"Joy ? Tu me sers une Caï pamplemousse s'il te plaît ?"

Et de dix... Ravachol en était à son dixième verre de saké, ce qui peut déjà paraître pas mal vu le degré d'alcool de cette boisson, mais quand on sait qu'il lui était servi dans un verre à whisky, on pouvait sérieusement se demander comment il ne s'effondrait pas raide mort à terre. Aucun de ses verres ne fut savouré, chacun fut bu cul sec. Il ne voulait pas boire, il voulait se saoûler... Pourquoi ? Tout simplement pour oublier un moment sa situation. Elle ne lui déplaisait pas, certes, mais avoir un autre point de vue était toujours divertissant. Au cinquième verre, sa tête commençait tout juste à lui tourner, et au dixième, le rouge lui montait légèrement aux joues, et une euphorie légère s'emparait de lui. A force de boire sans arrêt, il commençait à supporter l'alcool de plus en plus longtemps...

Sa représentation annulée lui avait permis ce petit moment d'égarement, mais étrangement, il n'était pas satisfait, il lui fallait "travailler", gagner sa vie, et ce, même si il était complètement beurré. Le risque était qu'il oublie de demander la paye à ses clients, ou bien de se laisser embarquer dans un plan louche, sûrement la seule chose qu'il pouvait refuser même contre de l'argent...

Il se mit donc en tête de passer immédiatement en seconde partie de soirée, plutôt que d'attendre que les spectacles se terminent. Par où, ou plutôt par qui commencer ? Une jeune femme tout à fait charmante vint s'asseoir à côté de lui, chose assez curieuse puisqu'il l'avait vue assise plus loin juste avant... Pourquoi était-elle venue là ? Etait-elle une cliente potentielle ? En tout cas, elle n'était pas une habituée, du moins, c'est ce que Ravachol se dit puisqu'il ne reconnaissait pas son visage. Mais peut-être avait-elle été une cliente d'une ou deux nuits tout au plus, qui sait ? En tous les cas, elle lui était fort sympathique, et c'était la personne la plus proche de lui à cet instant.

Le clone se tourna vers elle, descendit de son tabouret, et s'en approcha légèrement, la tête baissée sur son verre vide qu'il tenait à la main.

"J'sais pas c'que tu m'veux, mais j'te conseille de m'le demander maintenant avant que mes clients ne me repèrent..."

Etonnée du nombre de verres vides devant le pauvre -mais charmant-pochtron sis à côté d'elle, Jill ne le fut pas moins par le ton avec lequel il s'adressa à elle. Ce type ne devait pas savoir qui elle était. Ce qui serait tout à fait compréhensible s'il s'agissait bien du mec qu'elle recherchait.

"Clients ? Dis-moi, tu es bien Ravachol ? Le dernier arrivé dans la Tribale ?"

Elle doutait que dans son état, il soit capable de lui fournir une réponse autre qu'agressive voire vulgaire, mais tant qu'à faire, si elle était repérée...

"T'en fais pas pour tes clients, je pense pouvoir gérer tout débordement de la part de tes "fans" assez simplement."

Jill marqua une pause avant de se rapprocher encore plus de son interlocuteur, histoire de lui parler à voix basse librement :

"En fait, j'ai entendu dire que tu maîtrisais bien les explosifs. ET il se peut que j'aie besoin de ce genre de petits talents d'uen manière ou d'une autre."

Citation :: "Clients ? Dis-moi, tu es bien Ravachol ? Le dernier arrivé dans la Tribale ?"

Et bien... Apparemment, sa réputation le précédait... C'était donc tout ce qu'elle attendait de lui ? D'une moue déçue, Ravachol reposa son verre sur le comptoir, avant de plonger son regard dans celui de la femme qui lui adressait la parole. Vraiment charmante, elle était donc nouvelle, Ravachol oubliait rarement les visages des personnes qu'il appréciait physiquement... Sa remarque sur ses "fans" lui arracha un sourire amusé. Cette réputation aussi l'avait précédé dans la Tribale alors... Les rumeurs allaient bon train décidemment... Son sourire amusé se fit satisfait lorsque la jeune femme s'approcha de lui. Ca avait beau être pour se faire mieux entendre, elle était toujours plus proche qu'au départ...

Les explosifs... Elle en savait un bout à son sujet... Une admiratrice secrète qui se révélait ? Etrange étrange... Ce fut lorsqu'elle parla de ses besoins qu'il comprit pourquoi elle était tant renseignée. Elle demandait ses services, autres que ceux qu'il accordait dans ce genre d'endroit ? Intéressant... Quoique la dernière phrase laissait planer un double sens, au second plus pervers qu'autre chose, que Ravachol ne pu que noter...

"En effet, les explosifs c'est l'une des capacités où j'excèle..."

S'approchant encore un peu plus d'elle, il déposa une main sur sa hanche, et reprit, lui murmurant à l'oreille.

"Après tout dépend du genre d'explosifs dont tu as besoin..."

Le dernier geste de Ravachol prouvait bien qu'il ne savait pas à qui il avait affaire. Qui aurait osé se permettre de telles familiarités avec la chef du clan ? Hésitant entre lui filer une beigne retentissante pour son écart (enfin, l'écart étant censé être ponctuel, on devrait plutôt parler de méconduite hors normes), et au contraire l'attirer à lui pour en dmander plus...

*MMMhh ... un en-cas ?*

"Je parlais initialement de ces substances facilement inflammables et capables de donner de jolis feux d'artifice. Soit dit en passant, je ne pensais absolument pas à autre chose. Et cette autre chose risquerait, si tu tentes quoi que ce soit en public avec moi, de très mal se terminer."

Elle pensait en disant cela à son rang dans les alliances, sa place de chef de clan : que dirait-on si on la voyait batifoler en compagnie d'un gigolo complètement fini au saké ? Mais évidemment, Ravachiol ne pouvait pas le savoir. Elle ajouta donc :

"J'ai dit : en public... donc bas les pattes, parce qu'on commence à se faire remarquer. Et je vais finir par être obligée de te gifler si ça continue pour faire bonne figure !"

Elle s'en voudrait d'abîmer un si joli minois, mais en effet, oncommençait à les regarder dun drôle d'oeil.

Elle avait de la répartie la chtite, sans nul doute plus âgé que lui pourtant... Le clone, à ses paroles enleva discrètement sa main de la hanche de la demoiselle. Il avait beau être beurré, il n'en gardait pas moins un sens du pratique relativement élevé. Non pas qu'elle lui fasse peur, mais plutôt qu'en effet, si il tentait quoi que ce soit de public avec elle, tout se répercuterait contre lui : ses "fans" le repèreraient bien vite, et il ne saurait plus où donner de la tête. Les menaces de la jeune femme ne lui faisaient absolument rien...

Il se rassit donc sur son tabouret, ne quittant pas la jeune femme du regard, et commanda un autre verre de saké qui lui fut bien vite servi, et tout aussi vite vidé.

"Mmmh je vois... Je préviens tout de suite, je ne fais rien sans quelque-chose en retour... N'attends donc pas de moi que je fasse exploser quelqu'un ou quelque-chose sans compensation..."

Ca, c'était certain, elle pouvait toujours se brosser pour qu'il lui offre ses services, aussi charmante qu'elle soit... Ensuite, la "compensation" dépendrait de la chose à faire exploser, du danger que cela impliquait -bien qu'il s'en fiche pas mal mais ça lui faisait une raison d'augmenter le budget-, mais aussi et surtout, de son humeur... Et même sous l'emprise de l'alcool, il restait très dur en marchandage...

Morack avait commencer à prendre plaisir à observer les mouvements de hanche d'une des danseuses sur la scène...il avait commencer à s'imaginer des choses bizarres et pour le moins pas très catholique, c'était surement l'alcool qui lui lui avait monter à la tête. En effet il n'était pas souvent serieux mais de là à être attirer par une vulgaire danseuse, sur une scène miteuse, dans un lieux plus que douteux.

Il commençait à s'impatienter quand enfin il apperçut Jill qui semblait conquit par un jeune homme il s'approcha et discretement il avait ecouter la conversation. il semblait que ce soit justement la personne qu'il voulait voir, ainsi il se permit d'intervenir.

"Ne t'inquiète pas, la Tribale sait recompenser ceux qui serve se cause! Je me présente, moi c'est Morack, membre de la Tribale et ... expert en explosif, je suis sur que notre collaboration sera fructueuse si tu accepte le marché que nous allons te proposer!"
Sur ce il s'assit, commanda un vodka et alluma une clope, la dixième de la soirée.*Il faudrait vraiment que je fume moins...*

A la remarque du (charmant) jeune homme qui se joignit à la conversation, Rava ne pu s'empêcher d'arquer un sourcil. Qu'est-ce qu'on lui voulait à la fin ? Qu'est-ce que la Tribale voulait de lui ? Certes, c'était son clan, mais jusqu'ici il n'avait qu'agi seul et de sa propre initiative. En plus de ça il ne connaissait pas les membres. Quoique peut-être que certains d'entre eux avaient été clients... Mais passons, de toute manière, il appréciait qu'on s'intéresse à lui...

"Mmmmh... Elle sait récompenser dis-tu ? Tout dépend de la récompense..."

Un instant, Ravachol se laissa aller à détailler l'anatomie de celui qui se disait son "collaborateur". Décidemment, ils étaient physiquement avantagés dans la Tribale, il y avait une certaine fierté à l'intégrer...

"Et la récompense que j'attends dépend bien entendu de la mission confiée..."

Morack observa la réaction du jeune danseur, cela lui permettrait d'en savoir plus sur la personne de Ravachol. Il voulait une récompense donc il n'agissait que pour le profit...il ne faisait pas partie de la Tribal pour rien celui-ci! De plus Morack se rendait bien compte que Ravachol le regardait d'un drôle d'air...cela pourrait peut-être lui servir, et pourquoi pas...
Enfin en tout cas, il y reflechirait.

"Tu auras la récompense que tu veut, a condition bien sur que cela reste dans les moyens de la Tribale, et si bien sur Jill accepte...alors tu veut savoir ou nous nous en allons?"

Morack avait parler pour sa chef, il la connaisait assez bien et il savait que cela ne lui dérangait pas. Il commanda une nouvelle conso pour lui laisser le temps de répondre et aussi il faut l'avouer pour boire tout simplement. Morack était un eternel buveur mais il faut avouer que l'alcool avait de moins en moins d'effet sur son organisme saturé de produit comme la vodka ou le gin. Une fois sa commande reçu il se rendit du regard persistant que Ravachol lui lançait.

*Je me demande ce qu'il a dérrière la tête?*

Soudainement il se rendit compte qu'il devait partir pour des raisons très personnelles. De toute façon sa chef s'en sortirait très bien toute seule et elle devait voir les clauses du contrats avec lui. Morack n'était venu que dans le but de voir à quoi ressemblait Ravachol...et c'était fait! Avant de prendre conger il donna discretement une note à Ravachol pendant que Jill regardait autre part et il decida de partir.

"Excusez moi mais je crois que je vais y aller j'ai des choses importantes à faire et la chaleur dans cet endroit est plus qu'inssuportable alors...a plus tard, Ravachol on se revoit dans mon appartement au district si tu accepte le contrat, on verra comment s'organiser...c'est la porte rouge du passage 34 tu verra c'est simple à trouver...bye!"

Commençant à connaître Ravachol, Jill se dit que le jeune homme devait déjà se faire une joie à l'idée d'aller chez Morack... sans doute récuperer une partie de ce qu'il allait estimer comme son dû : une partie de jambes en l'air. Voilà ce qu'il avait derrière la tête.

En attendant, son fidèle Morack venait de dévoiler au danseur son idéentité, et il allait bien falloir, une fois de plus, avouer qui elle était.
Elle enchaîna donc :

"Bien, puisque notre (enfin mon) ami Morack s'en est allé, à moins que tu n'aies besoin d'un autre renseignement, je vais faire de même...
recontacte-moi si tu en as besoin, tu n'as qu'à te pointer aux squats de la Tribale et demander Jill. Si j'ai aussi besoin de toi, je ferai de de même...
Des questions ?"

Ravachol parcouru vite fait la note que le dénommé Morak lui avait si gentilment donné, avec un sourire des plus satisfaits aux lèvres. Une partie de sa "note" pourrait être payée, c'était du genre... Satisfaisant... Il releva alors les yeux vers la jeune femme qui restait en face de lui, sans effacer ce sourire.

Citation :: "Bien, puisque notre (enfin mon) ami Morack s'en est allé, à moins que tu n'aies besoin d'un autre renseignement, je vais faire de même...
recontacte-moi si tu en as besoin, tu n'as qu'à te pointer aux squats de la Tribale et demander Jill. Si j'ai aussi besoin de toi, je ferai de de même...
Des questions ?"

Les squats ? Ravachol ne s'y était rendu que très rarement dans ces squats. Non pas qu'ils n'étaient pas assez bien pour lui, mais plutôt parce-qu'il trouvait plus facilement des clients par ici... Bah oui, malheureusement, à l'échelle Ravacholienne, un trop gros nombre de personnes étaient trop prudes pour avoir recours à ses services. Chose regrettable, bien regrettable... Il hocha la tête en signe d'approbation, et répondit.

"Bien... Bah, à vrai dire je ne me pose que très peu de questions à propos des petits boulots que l'on me donne... Mais ne t'en fais pas, je serai à votre disposition n'importe-quand, sauf pendant mes heures sup'..."