réception à la gloire de selem (sortit des ténèbres)[libre]

Alors que Selem, depuis de longs mois, s'était laissé détruire par la maladie, la haine incontrôlé,... il s'était retiré quelques jours de la vie politique pour se refaire un santé. Il était encore assisté pour marcher, car ses jambes étaient encore fragiles. Mais il se tenait fièrement debout (malgré quelque vague de douleur). Pour son retour, il avait fait organiser une petite fête, pour montrer qu'il était toujours là, et que ce n'était pas un léger contre temps, comme celui qui l'avait privé de ses jambes, qui allait stopper sa domination sur la ville.
Toutes les personnes importantes lui avaient fait l'honneur de ce rendre a cette réception.
Selem était pour une foie splendide, le protocole voulait qu'il fasse un effort. Car il avait tendance à ne pas faire attention à sa façon de se vêtir, trop absorbé par son travail.
Selem avait récupéré son sourire qui ne pouvait laissé indifférent, et son costume mettait en valeur ses formes.

"Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs. Je vous remercie d'avoir répondu présent à mon invitation. Je me suis écarté de la vie politique pour ne jamais avoir à vous décevoir. Après l'incident avec les rebelles, je devais prendre un peu de temps pour méditer sur le sort de ces personnes incapables de reconnaître la république. Je proposerais d'ici demain un projet pour que cette ville soit plus sûre !"

Il fut acclamé. Bien sûr, pour un simple d'esprit, Selem pouvait représenter un espoir. Mais le sort qu'il allait réserver aux autres clans serait un vrai massacre, comme les Danclats n'en avaient jamais organisé.

Comme à toutes les soirées de grandes festivités organisées par les Dantclas, Sir Kheos-Drake Sentence était invité, et arrivait toujours en retard. Il aimait se faire remarquer, et il ne manquait jamais une occasion d’attirer les regards. En arrivant, la majeure partie des yeux se dirigeaient vers lui, et son ego s’en sentait rassasié.
Vêtu de blanc de la tête au pied, un somptueux costume couleur de neige, dont les boutons de manchette et de la veste étaient incrustés de saphirs, brodé au fil d’argent. Beaucoup de femmes de l’assistance le regardait avec des yeux désireux. Bien sûr, leur regard traduisait autant l’envie charnelle que l’envie économique.
Sentence se dirigea vers une jeune femme brune, habillée d’un robe longue couleur ébène offrant une vue magnifique sur son décolleté et le collier d’onyx et d’obsidienne y résidant.
-Madame le procureur ! Vous êtes, si je puis me permettre, l’étoile rayonnante dans le crépuscule de cette citée.
La femme lui répondit par un petit sourire et un merci timide.
-Valse lente Maestro !
L’orchestre commença à jouer le vieille chanson « Are you lonesome tonight ? », et les deux personnes s’engagèrent sur la piste, les autres convives leur faisant place.
Tout le monde savait que malgré leur petits jeux, Sir Kheos-Drake Sentence et Madame le procureur étaient amant. Et de cette relation, Sentence tirait énormément d’avantages. Pendant leur valse lente, un grand nombre d’invités les regardait : les femmes admirait la grâce de Sir Kheos-Drake et jalousait honteusement Madame le procureur, alors que les hommes de l’assistance enrageait à la vue de Sentence.

A la fin de la musique, ils allèrent tous les deux prendre une coupe de champagne et discuter. Alors que Madame le procureur était toujours à sa deuxième coupe, Sentence prenait déjà sa sixième, mais était toujours très sobre. Il commençait à peine à ressentir l’euphorie de l’alcool. Il se leva et demanda le silence. Puis il dit :
-Je porte un toast à notre cher Selem, qui part le malheur de cet incident avec les rebelles, nous honorera, tel son discours, d’une République plus sûre pour nos concitoyens. Aussi, j'offre dès maintenant le soutien mais aussi un département de recherches et de production de la part de la Genetic & High Nanotechnology pour le projet de notre bienfaiteur Selem. Vive la République, et vive Selem !
Tous les invités, sans exceptions, applaudirent à s’en rompre les mains.
*Voyons désormais, mon cher Selem, où tout cela nous mènera-t-il face aux autres clans…*

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« Et s’il n’en reste qu’un, je serai celui-là »

Les Châtiments, « Ultima verba »
Victor Hugo

Alors que selem malgré la soirée, réglait des affaires en cours, l'intervention d'un individu dont on lui avait parler le remit au devant de la scène. Il fit un signe de la tête en remerciement.

"J'aimerais que vous enquêtiez sur toutes les personnes présentes ici ce soir, je ne tiens pas à ce que la soirée soit interrompue. Amenez moi aussi Sentence."

Selem n'aimait pas être prit de court devant les gens et c'est bien ce qui venait de se passer. Il allait devoir remettre en place cet individu qui semblait s'être bien enivré.
Selem, en attendant qu'on lui amène Sentence, se reposa à une table en retrait de la fête. Il dû répondre à une interview, ce qui ne le mit pas de bonne humeur. Comment la presse était arriver à rentrer ? Le lendemain, des têtes allaient tomber. Bref, après ces petits contre-temps insignifiants, Selem pu se reposer.
Enfin on lui amena Sentence.

"Et bien, mon cher, c'est danser avec madame la procureur qui vous a mis dans un tel état de gaité ! Je crains que vous n'ayez pas totalement saisi mes exigences. Les gens viennent ici pour s'amuser, pas besoin de les bassiner avec une vanité inutile. Ici on flatte les alliés et les ennemis, pas nous même. Ai-je bien été clair?"

il lui tapait sur le système nerveux. selem tentait de garder son calme. l tenta de se concentrer sur autre chose car cet impertinent allait le faire sortir de lui. pourquoi il se justifiait? il lui faisait un affront a lui parler de chose inutile. il voulait accéder au même rang que selem et bien il était mal partit.
bon il y avait un point qui satisfaisait selem. il était facile a surveiller.
une foie que monsieur et fini selem ne lui répondu quand lui mettant un de ses couteau sous la gorge. et il lui répondit avec un sourire sadique.

"quel mauvais garçon! quand on est poli on se tait surtout quand un grand te le demande avec calme. je ne veut plsu entendre de stupidité venant de ta bouche. il ya en déja trop qui on étaient prononé durant cette soirée."

il augmenta la pression sur le cou de sentence.

"je sais déjà tout de toi alors pas besoin de me saouler avec tes paroles grossière. tu veux êtres une rose noir, être mon égal? A moins que tu sois dans mon lit ou que tu met tu n'a aucune chance! Mais si tu choisi la deuxième option autant que je te tu toute suite."

selem n'aimait pas qu'on veuille le doubler encore moins qu'on le fasse aussi ouvertement. Et si il mourrait son successeur était déjà choisi depuis un moment. Un homme interrompra leur discutions se qui donna a sentence une chance de s’en sortir. Mais selem n’en avait pas fini, il allait devoir l’éduquer.

C'était la première fois que la malheureuse créature se retrouvait dans ce genre de... Réception? Mascarade?
Kageru était si jeune au regard du monde et de l'univers du vivant et pourtant son caractère faisait de lui un personnage terriblement ancré dans sa réalité, à savoir que rien des bassesses de cet univers ne l'étonnait et pour ce qui est des manoeuvres politiques, il se surprenait lui même à saisir les implications de celles-ci comme un stratège qui y aurait participé. Cette capacité à entrevoir le fond des choses le rendait vigilant et aussi très habile. En somme, l'être chimérique était un survivant, lui le pion, la simple marionnette au milieu de ce nid de requin observait en retrait les mécanismes complexes du destin comme un scientifique le déroulement d'une expérience assez intéressante et cruelle.

Ainsi était-il effacé depuis le haut des marches du grand escaliers, appuyé avec un naturel élégant à la rembarde de style néo-classique, regardant les gens en contrebas qui se séparaient et se retrouvaient au gré d'un fond musical très convenu. Son maintient dénotant d'une certaine noblesse était souligné par des vêtements allant du noir le plus profond à un gris moiré, qui avec une coupe asiatique et des motifs végétales allant avec, lui assurait une allure conséquente. Cela était renforcé par une attitude qui se voulait donc distante, trahissant quelque part une certaine mélancolie.
Il étouffa bientôt un baillement qui lui fit venir quelque larmes aux coins des yeux rougeâtres, larmes qui furent essuyées rapidement quand le silence se fit... En bas un des hommes portait un toast au chef des Dantclas qui fut suivit d'une slave d'applaudissement aussi spontanée que stupide. Certainement que Selem maintenant devait exécré l'individu car il était de notoriété publique que celui-ci désaprouvait toute iniative en son nom quand celles-ci ne relevait justement pas de son et uniquement de sa propre initative... Quelle pitié que tout cela. Kageru s'était attendu à ce que la soirée fut instructive certe mais pour l'instant c'était sans surprise, tout se déroulait avec une morne prévisibilité... Champagne... Qui parlait de champagne?

"Monsieur? Une coupe de champagne?" répéta le serveur plateau à la main.
"Non merci."
"Nous espérons que... Ah bon... Heu Bien." balbutia le pauvre garçon qui était trop habitué à ce que les gens acceptent avec force de sourire.

Il s'éloigna non sans avoir jetté un regard en biais à Kageru, relevant sans doute son allure atypique au sein de la soirée. Un petit quelque chose en plus l'habitait par rapport au autres présents ce soir, il avait une préstence forte et indicible. Pourquoi quelqu'un comme lui était égaré dans ce milieu d'hypocrites? Voilà la question étrange que le garçon fut ammené à se poser. Il n'était pas le seul à avoir remarqué cela, quelques regards depuis les divers horizons de la salle se posaient parfois sur cet être isolé et pensif, philosophe perdu. Parmis ceux là une jeune fille qui semblait attendre un regard en retour. Comme souvent l'instinct nous interpelle en faveur de telle attentes et Kageru l'aperçue tantôt au milieu de la masse, tache aux couleurs du soleil qui rose blanche à la main le scruttait. Un sourire triste se peignit sur le visage de Kageru qui s'éloigna de la rembarde et des yeux de la jeune fleur en disparaissant dans le reste de la foule présente. Une main se posa alors sur son épaule. Il se retourna pour faire face à un des homme de main influent du clan qui lui parla l'air de rien,

"Alors on va saluer ce vieux Selem?"
"..."
"Tu devrais c'est bien vu et ça rassurerait sur notre investissement sur ta personne."

L'homme le poussa alors du plat de la main dans la direction d'une table où Selem semblait être en affaire avec quelqu'un d'important.

"Je suppose que c'est un conseil d'ami."
"Bien sur! Nous sommes une grande famille après tout" rajouta l'autre d'un ton appuyé alors qu'ils s'approchaient de la table.

Une nouvelle voix se fit entendre auprès de Kageru-sama, celle de l'homme même qui avait osé se mettre en avant en levant les verres à la gloire de Selem qui lui restait encore lointain en cet instant. L'être chimérique se fit détailler du regard sans que cela ne l'étonne particulièrement, il se demanda juste si cet humain avait déjà vu son modèle génétique, ce qui était pour le moins incertain. Le chef des Onoris était connu aussi pour sa discretion. Prudent et quoique réservé, il rendit son salut à Sentence en inclinant légèrement la tête avant de répondre d'une voix qui, comme à son habitude, était posée voir même douce.

"Bonsoir Mr Kheos-Drake... Je suis pour ma part une expérience génétique appartenant au clan et je réponds au nom de Kageru."

Un sourire aussi triste qu'entendu se peignit sur les lèvres de Kageru à la suite de cette remarque. En disant cela, il était clair qu'il signifiait à son homologue Dantcla que contrairement à lui, il n'avait qu'une maigre place dans la société. On le reconnaissait en fait sur son éventuelle capacité à nuir à la vie d'un autre, autant dire que pour lui même et aux yeux de beaucoup, il ne valait rien... Au mieux le prix de sa conception. Pour lui ce n'était pas bien grave, il mettait de côté toute ces considérations la majeur partie du temps et s"appliquait à faire ce qu'il avait à faire, voilà tout. Et le reste du temps? Et bien il faisait encore fit de tout cela en lisant un bon livre tout en écoutant de la bonne musique... Kageru n'était pas quelqu'un de compliqué dans le sens où il trouvait réconfort à sa situation dans des choses simples, Jamais l'idée d'une drépression chronique ou une haine vicérale ne s'était emparé de lui, juste une mélancolie floue qui l'habitait avec la même douceur que son caractère en général. C'était d'ailleurs une des choses qu'il avait appris à apprécier chez lui, son tempérament calme et réfléchi sur lesquels les violences du monde semblaient glissées, cela le laissait distant assez souvent, tel maintenant et ceci n'avait guère échappé à Sentence.

"Je ne suis pas d'un naturel expensif et la réserve fait office de prudence chez moi, s'expliqua-t-il sans détour, Je sais que cela peut intrigué ou susciter la méfiance, enfin je ne pense pas que ce soit bien grave, du moment que notre chef soit lui à fête."

Cette fois ce fut un éclair de malice qui passa dans le regard sanglant de la chimère. Kageru, nous l'avons déjà dit, était loin d'être stupide, et il avait perçut que, la façon dont Sir Kheos Drake s'était mis en avant tout à l'heure, avait un arrière goût de provocation à l'égard de Selem. L'homme face à lui devait avoir de l'ambition c'est certain.

"Par ailleurs... J'ai cru comprendre qu'il était important que je salut au plus vite ce dernier. Qu'en pensez-vous... En passera-t-il nécessairement une meilleure soirée?"

Kageru le regarda s'éloigner sans commenter et sans afficher une expression particulière sinon celle de quelqu'un un peu sur la réserve. L'être chimérique se doutait assez bien que Sentence l'avait remarqué avec peut être une idée derrière la tête, celle de l'utiliser dans son intérêt, c'est ce qui était le plus probable mais également le plus improbable aussi paradoxal que ça pouvait paraitre. En effet, Kageru ne se sentait pas près à s'associer dans de sombre histoire de pouvoir, beaucoup trop dangereux et instinct de préservation oblige, il ne voulait donc pas en entendre parler.

*Bon... J'ai juste à à souhaiter le bonsoir au chef du clan et après je vais rentrer chez moi.* pensa-t-il avec circonspection.

Il s'approcha donc silencieusement de la table, que depuis tout à l'heure, Selem n'avait pas quitté. Toujours très attentif, il nota que la colère de ce dernier n'était pas tout à fait retombée puisqu'il avait engagé une discussion avec quelques hommes qui baissaient le nez, soumis. Attendant avec patience et dans le soucis de ne pas comettre un impaire Kageru attendit que la diatribe prenne fin et s'annonça d'une voix calme et légèrement freutrée.

"Bonsoir Monsieur Sai."

Il inclina la tête de manière toute aérienne en disant cela et une fois qu'il l'eut relevé ajouta simplement ces quelques mots en arborant un visage neutre,

"Cette soirée est très agréable."

Les phrases bannales qui devaient traduire qu'il avait été bien formaté dans les laboratoires de la firme Néocorp... En voyant cela, Kageru escomptait bien que Selem soit rassuré sur la commande "Kageru" et laisse cette dernière s'éclipser.

selem n'avait nullement fait attention a l'agitation autour de sa table il était perdu dans ses pensées, des sont retour dans ses cartier il allait devoir planifier une petit expédition de ses hommes punir tout ceux qui c'étaient opposé a lui. Les idées qui lui vint en tête le firent sourire.
il revint dans la réalité quand un personne lui adressa la parole. il la regarda il ne dit mot, il chercha quelque instant dans sa tête qui était ce personnage.

"Bonsoir à toi kageru... tu dis que ces une ambiance agréable! Regarde bien tout ces gens, la premier moitié à peur de moi l'autre m'envie, j'ai fut des soirée avec une meilleur ambiance."

Malgré sa forme olympique selem ne s’amusait pas vraiment. Enfin c'était rare que cet individu arrive s'amuser et a ce laissait aller a une joie immodéré.
Selem tapa dans ses mains pour que la lumière de la salle s'assombrisse, plus de gens commençaient à danser.

"Tiens kageru laisse toi aller par la foule des danseurs et écoute ce qu'ils racontent, tu verra que tout n'est pas aussi beau que cette fête semble le faire croire. Entraîne toi un peu c'est une bonne occasion, pour un petit nouveau."

Selem se fit apporter un verre de vin qu'il dégusta tranquillement. une jeune femme força le passage pour aller parler a selem.

"Monsieur... monsieur... vous ne dansez pas? S’il vous plait laissais moi vous inviter..."

Selem eu l'impression qu'elle avait prit son courage deux mains. il se leva doucement. il posa une main sur l'épaule de kageru.

"je compte sur toit pour savoir ce que dit tout ce petit monde."

Selem accompagna la jeune fille sur la piste de danse. la fille semblait heureuse, selem lui restait comme à son habitude.
Malgré l'assistance mécanique qui l'aidait encore a marcher, il restait très élégant.

cassiel décida que c'était le moment opportun pour faire son apparition, un avocat tel que lui se devait d'être discret, de plus il convoitait la place de selem. mais il avait lui tout son temps. et sa fidélité ne pouvait pas être remis en cause. il avait écoutait attentivement le dialogue entre selem et sentence. s'avait était très divertissant pour sa personne. cet homme était pas encore assez fort pour se faire un place prêt de selem. il était trop arrogant devant celui ci pour que selem lui face confiance. bien sur il fallait passé quelque temps avec selem pour le comprendre, et pour qu'il fasse confiance.
cassiel prit du champagne et alla vers sentence. il reconnu madame le procureur. alors que sentence regardait vers kageru cassiel salua madame le procureur. il lui baisa la main.

"c'est un grand honneur de pouvoir côtoyer la même soirée qu'une femme tel que vous."

il ne chercha pas a développer une conversation avec cet femme qui l'ennuyais. il n'écouta sa réponse que d'un oreille. il savait que son apparition si soudaine allait intéresser sentence. cassiel n'avait jamais prit le temps de parler a cet homme, mais après ce qu'il avait écouter c'était quand même la moindre des choses. il était quand même intrigué par ce personnage.

"et bien bonsoir, a ce que j'ai vu vous n'avez pas encore percé la carapace de notre chef! Dévoilé aussi vite ses projets ce n'est pas la meilleur de tactique."

Cassiel n’avait pas non plus envie d’un nouveau rival, il y en avait déjà assez comme ça. Même si celui-ci ne pouvait l’égaliser,Cassiel était un diplomate et un avocat or repère. Jamais une personne lui avait résisté et il c’était rendu indispensable au yeux de Selem.
et puis il était fière de son corsp après tout celui ci lui permetait de faire céder les plus faible, car il était beauté. son aire un peut supérieure en faisait craquer plus d'un(e). et pour cette soiré selem lui avait demandé d'être sur son 31 se qu'il avait fait.

Sentence ignora cassiel, se qui n'eu pour effet que de le faire sourire. Cassiel resta discret à détailler les danseurs. Il surveillait aussi Selem. Il ne voulait pas qu'il arrive quelque chose.
Alors que toute son attention c'était finalement focaliser sur Selem sentence revint à lui.

"Votre prestation était des plus lamentable! Vous n'este hélas pas assez doué pour remporter quoi que ce soit."

Le jugement de cassiel était dure, mais il était un spécialiste dans ce genre de chose et il avait trouvé la tactique de sentence que peut élégante.

"A agir de la sort vous vous mettrez la mauvaise personne a dos."

Cassiel déposa son verre vide sur le plateau d'un serveur. Alors que cassiel allait continuer de donner son avis sur ce nouveau rival, une jeune femme arriva et salua cassiel.

"_bonsoir monsieur Hartzman, j'ai cru ne pas pourvoir vous rencontrer ce soir.
_toute mes excuses les plus sincères. J’ai manqué à ma tache. Laissez moi me faire pardonner."

Cassiel baisa la main de la jeune fille. Il ne l'aimait pas vraiment, mais son père était un allier de taille pour les dantcla. Le faite que sa fille l'appréciés c'était bon pour lui. Il devait donc se plier à ses exigences.

"_bien acceptez vous d'être mon cavalier pour un soirée donné par une de mes rival. Avec vous tout le monde fera attention à ma personne.
_ se sera avec grand plaisir. Je dois vous laisser maintenant, je dois continuer la conversation que j'avais commencée avec mon collègue. D’ailleurs je ne suis pas sur que vous le connaissiez. Je vous présente Sir Kheos-Drake."

Cassiel désigna sentence puis il présenta la jeune femme a sentence.

"Je vous présente mademoiselle Mattie Delilah fille d'un de notre grand sénateur."

Après cela la jeune femme les laissa entre homme et il pu continuer ce qu'il avait commencer.

"C’est comme cela qu'on trompe l'ennemie."

*Quelle arrogance !*

Premières paroles, premières impressions. Hartzman était certes arrogant, mais il avait été direct et sur ce point, Sentence l’avait apprécié.
Lorsque Cassiel lui présenta la jolie Mattie Delilah, Sir Kheos-Drake avait fait une lègère révérence, ainsi qu’un baise main.

« Ne serait-il pas temps de parler de choses plus sérieuses que nos relations politiques et judiciaires ? »

Certes, le fait de connaître soit une procureur, soit la fille d’un député était un atout de taille dans ce monde de corruption, mais cela ne faisait pas des actes. Et c’est cela que Sir Kheos-Drake voulait juger chez Hartzman, les actes.

« Je vous ai senti observateur envers notre cher Selem. J’espère que vous seriez dans la même position que moi face à Selem : un potentiel rival.
Et si cela est le cas, j’espère que nous pourrons en parler dans un endroit possédant quelques oreilles indiscrètes en moins… »

Sentence désirait premièrement, se faire des alliés au sein du clan, et deuxièmement, retourner à ses projets génético-robotique…

[HRP] désolé du temps que j'ai mis pour répondre, mais j'ai eu du mal à digérer les fautes d'orthographe !! > <
ça vaut pour Selem ET Hartzman Cassiel !!
Quand on est un beau parleur, il est certaines choses qui ne peuvent être pardonnables...[/HRP]

Comme toutes les réceptions auxquelles Sentence était invité, Leila Krüger était présente. Comme toutes ces mêmes réceptions, ellle veillait, en bonne garde du corps, à la sécurité de son protégé. Et comme toutes ces réceptions, Leila s'ennuyait à mourir...


Assise sur une chaise, non loin de Sentence et de sa pimbêche de procureur, Leila veillait au grain. De loin, si sa robe fendue bleue et son décolleté respectable, son maquillage discret (pas comme certaines bonnes femmes peinturlurées à la truelle), ses cheveux d'un blanc de neige coiffées en un élégant chignon d'où s'échappaient deux mêches, une de chaque côté de son visage donnaient l'impression qu'elle était tout à fait abordable, la plupart de la gente masculine avait finalement changé d'avis devant son air excédé et son regard glacial parcourant régulièrement l'assistance. Les quelques fous qui avaient mené leur démarche de proposition de danse s'étaient faits éconduire en beauté, comme si la garde du corps était une diva qui ne souhaitait pas perdre de temps avec de tels minables. Enfin, c'était un peu vrai, même si elle n'était pas une diva...


Non, Leila n'aimait définitivement pas les galas et autres mondanités. Vraiment pas. Tout d'abord parce que personne n'oserait s'en prendre à son patron ici, le linge sale se lavait généralement ailleurs que dans de pareils réceptions chez les Dantclas, c'était même un des rares moments où la plupart baissaient leur garde, ne craignant plus de recevoir en guise de bienvenue de la part du voisin un couteau entre les omoplates...
Ensuite parce qu'à chaque réception, chaque bal, chaque fête, Leila devait passer la soirée à voir Sentence faire la cour à diverses succubes en mal de beau mâles.


Et ce soir, la succube en tenait une couche. Empestant la trainée à dix mètres à la ronde, belle comme un coeur et conne comme ses pieds, Madame la procureure, garce parmi les garces, ne quittait pas Sentence d'une semelle, et lui même n'en semblait pas géné. Après une brêve prière à n'importe quelle divinité assez bienveillante pour l'intoxiquer avec son rouge à lèvres, lui faire prendre quinze kilos dans la minute ou lui casser un ongle, et voyant une fois de plus qu'une divinité bienveillante était plus rare encore qu'un Onori rebellé, Leila décida finalement qu'à défaut de son indifférence, la harpie ne méritait guère plus que son mépris, sa haine et une bonne paire de baffes dans sa gueule.


Omnubilée par la pensée réjouissante d'une Madame la Procureur étranglée par ses soins, et la pensée désagréable d'avoir des talons aiguilles, création totalement inefficace pour ravaler le fondement d'une parvenue geignarde à grands coups de pieds, Leila fut surprise par la venue impromptue d'un importun qui la tira de ses rêveries.


[HRP] Voila, RP génial je dois dire, sympa envers une PNJ, le bonheur. L'importun peut finalement être n'importe qui :P [/HRP]

Sentence avait quitté Harrtzman Cassiel, et rejoint Madame
le Procureur afin de continuer la soirée. Ils burent encore un ou deux verres
(un pour elle, et deux pour lui) avant que celle-ci ne décide de rentrer chez
elle. Sir Kheos-Drake ne l’accompagna pas, sous prétexte qu’elle se sentait
trop fatiguée. Son plan entrait déjà en action ce soir, et il ne ferait que se
dérouler comme prévu tout au long des prochains jours.

Sentence se dirigea, coupe da champagne à la main, vers la
table où Leila était assise à révasser. De quoi ? Cela restait un mystère…
Lorsqu’il arriva à hauteur de sa garde du corps, il posa son verre sur la
table, la sortant par là même de sa légère torpeur. Il resta debout face à elle et lui demanda :

« Aurais-tu entendu quelque conversation ou tout autre
chose pouvant avoir une quelconque influence sur mes projets à
venir ? »

Sentence avait tendance à ne la considérer pas que comme sa
simple garde rapprochée. Sir Kheos-Drake la voyait plus comme sa suivante, à qui il pouvait demander le moindre de ses caprices. Qu’elle les exécuta ou non, cela importait peu, tant que Leila restait entièrement dévouée à Sentence…

Certes, Leila était une réussite sortant tout droit des
laboratoires de la G.H.N., elle n’en restait pas moins que la première étape de son projet génétique. Et d’ailleurs celui-ci et le robotique l’attendait au
siège de son entreprise. Si Sir-Kheos-Drake voulait qu’ils aboutissent
rapidement, cela ne se ferait pas sans chef. Non pas que son entreprise ne
pouvait se passer de sa présence, mais Sentence aimait à s’asseoir dans le fauteuil qu’occupait précédemment son père à la tête de la G.H.N.

« Nous partons, Leila. » dit-il soudain à sa garde du corps.

Son plan et ses projets, voilà tout ce qu’il voulait retrouver tout de
suite. Aussi, sortit-il, Leila sur ses talons. Ils descendirent, et montèrent
dans la limousine blanche les attendant devant l’Octavio, direction la maison
mère de la G.H.N. …